• 05 May, 2025

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La lettre de maman ...

La lettre de maman ...

Etre parent, quoi de plus beau ? N'est-ce pas les enfants sont-ils adorables ?! Mais nous ne naissons pas parent, nous le devenons. Pour certains, c'est trop facile, pour d'autres c'est complexe. Que ce soit simple ou difficile, nous apprenons tous à devenir parent. Et aujourd'hui, je rends hommage à mes enfants, qui m'accompagnent dans cette expérience magique ! Etre votre maman fait du bien !

Nisaidiye, le cri profond ...

Nisaidiye, le cri profond ...

Actuellement, les crises se sont intensifiées dans le monde que beaucoup de gens ont perdu leurs moyens de subsistance. Les demandes de l'aide sont nombreuses et malheureusement, il ne s'agit pas d'être riche ou pauvre, il s'agit de SURVIVRE. Puisque ceux que l'on considérait pauvres dans une situation stable avaient des moyens de VIVRE, aujourd'hui, ils ont tout perdu, ils luttent dans le vide !

Femme, elle était la Femme !

Femme, elle était la Femme !

La Femme, elle est pour moi et reste la créature la plus forte. Prête à s'adapter et à exercer plusieurs actions à la fois avec un esprit de détails. Le monde connaît la force de la femme et en tremble, alors il essaie de nous faire croire que nous sommes faibles, que nous sommes vulnérables, si seulement on arrêtait d'écouter le monde pour voir la flamme qui brûle en nous, prête à briller ...

SOS, MON PEUPLE MEURT, ...

SOS, MON PEUPLE MEURT, ...

Depuis plusieurs années, la RDC fait face à une crise hors commun, à l'est c'est maintenant trois décennies que cela dure et ça va de mal en pire au fur et à mesure que les jours passent. Bilan, soit environ 5,6 millions de déplacés (81 pour cent du total), vivant dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu, de l’Ituri et du Tanganyika (OIM, octobre 2023). SOS, un cri de trente ans ...

C'était un esprit, ...

C'était un esprit, ...

Si vous lisez ce texte, dites-vous qu'il a été écrit à Angumu, une région montagneuse de la province d'Ituri en République Démocratique du Congo, avec un accès très difficile. George Ndamiyehe nous partage une expérience personnelle, une lecture profonde de son âme le 20 octobre 2020 pendant qu'il était à Angumu. Pour déchiffrer le message, il faudra vraiment être dans une fusion avec son âme.

J'avais peur, ...

J'avais peur, ...

La peur, c'est le diable, dit-on. La peur est un menteur, mais notre nature humaine ne nous épargne pas d'avoir peur, notre assurance se trouve dans la Force Supérieure, dans un environnement sécurisé et rassurant, je l'appelle personnellement : le carrefour Créateur - créature, le carrefour Eternel - mortel. C'est cet endroit ou ce sentiment qui nous rappelle que nous ne sommes pas seuls !

Si tu savais, ...

Si tu savais, ...

Mieux vaut aller dans une maison de deuil que d'aller dans une maison de festin; car c'est là la fin de tout homme, et celui qui vit prend la chose à coeur. Ecclésiaste 7 : 2.

Une vie apparaîtra, ...

Une vie apparaîtra, ...

"J’ai vu des hommes qui pensent au mal et trouvent des excuses pour ne pas faire du bien à leurs semblables…par contre, j’ai un jour observé une fourmi qui, difficilement déplaçait un petit morceau de pain et une autre qui était venue à son secours; ensemble ils l’ont fait." -George Ndamiyehe

Le bilan

Le bilan

Saint Sylvestre, on fête, on trinque ! On fête quoi ? On trinque à quoi ? On fête la Vie, on trinque à la Vie. On fête ce bilan, positif ou négatif, on fête la promesse de tenir fort et de s'améliorer. Ou pas !

Homme de paix, l'éveil congolais, ...

Homme de paix, l'éveil congolais, ...

Le Congo, notre beau et cher pays nous appartient à tous, nous avons tous le devoir de contribuer à son développement, à son progrès, ... N'attendons pas que les autres fassent. Soyons des citoyens patriotes, qui, au quotidien travaille pour le bien de ce pays. Comme dit-on, le CONGO EST GRAND ET EXIGE DE NOUS LA GRANDEUR. Nous sommes tous responsables. Nous sommes tous redevables.

L'espoir, au-delà de tout espoir

L'espoir, au-delà de tout espoir

Il y a un an, j'ai écrit ce texte alors que j'étais sur le site de déplacés à Kanyaruchinya, aujourd'hui encore, avec les combats qui s'intensifient sur le front et toutes ces nouvelles tragiques des guerres partout dans le monde, je pense à tous ces déplacés et réfugiés, qui passent ces festivités de fin d'année loin de leurs maisons. Un seul mot pour vous : gardez espoir, croyez aux bons jours !